27 Janvier 2019
Conférence sur les compagnons tailleurs de pierre et la gnomonique.
Publié le 27 Janvier 2019 @ 10:39:00 , contient 215 mots
Le Laboratoire de Mathématiques d’Avignon (LMA) et la Structure Fédérative de Recherche AGORANTIC de l’Université d’Avignon organisent le 22 février un colloque d’une journée autour d’Athanase Kircher (1602-1680), jésuite et érudit, un des scientifiques les plus importants de l’époque baroque. Cet événement est en partenariat avec l'Académie de Vaucluse et l'association Lux et Umbrae.
Mathématiciens et historiens traiteront du thème de la transmission des connaissances mathématiques sur les cadrans solaires. Partenaire de la journée, la bibliothèque Ceccano occupe les bâtiments de l’ancien collège des Jésuites où enseigna Kircher en 1632. Elle conserve dans ses murs les vestiges d’un exceptionnel cadran solaire à réflexion qu’il réalisa alors. Ce colloque sera ouvert au public.
Le nombre des places disponibles étant limité, il est indispensable de réserver en indiquant quelles sont les conférences que vous souhaitez suivre en envoyant un mail à:
colloquekircher@gmail.com
avant le dimanche 17 février.
Voici le programme:
09:30 > 10:00 : accueil
10:00 > 10:45 : Denis Savoie (Astronome, SYRTE - Observatoire de Paris et musée des Arts et Métiers), La gnomonique de Kircher : une diversité inégalée.
11:00 > 11:45 : Étienne Ghys (Mathématicien, ENS Lyon, secrétaire perpétuel de l'Académie des Sciences), Ombre et lumière.
13:45 > 14:15 : Raphaël Dallaporta présentera son installation vidéo : Mundo combinatorio / Monde combinatoire.
14:30 > 15:15 : Isabelle Pantin (Littérature et Language, ENS Ulm), Kircher, le livre et l’image scientifique.
15:30 > 16:15 : Jean-Michel Mathonière, Les compagnons tailleurs de pierre et la gnomonique.
26 Janvier 2019
[AVIGNON | Les après-midi de Fonséca] Conférence sur les origines de la franc-maçonnerie
Publié le 26 Janvier 2019 @ 17:58:00 , contient 114 mots
L'Association "Les après-midi" de Fonséca organise, pour les personnes qui ont du temps libre, des activités socioculturelles : des conférences et vidéoconférences, les mardi et jeudi à 15h00, et quelques sorties avec des visites commentées : musées, châteaux, sites, etc. avec le soutien des collectivités locales et départementales. Les conférences sont gratuites.
Le mardi 5 février, "Les après-midi de Fonséca" ont invité Jean-Michel Mathonière à venir présenter une vidéoconférence sur "Les origines de la franc-maçonnerie". Elle sera l'occasion de synthétiser plusieurs des recherches menées et exposées durant ces dernières années autour des substrats communs aux compagnonnages et à la franc-maçonnerie, tant sur le plan de l'architecture et de ses savoirs (géométrie, perspective, gnomonique) que sur celui de l'emblématique.
3 Janvier 2019
Vœux 2019
Publié le 3 Janvier 2019 @ 14:26:00 , contient 44 mots
Sous forme d'un clin d'œil pertinent et impertinent à l'actualité et à la remarquable exposition L'art du chantier, contruire et démolir du 16e au 21e siècle se déroulant jusqu'au 11 mars à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine, je vous souhaite de bons chantiers 2019 !
18 Novembre 2018
Derniers jours pour souscrire au livre de Louis Marguet, Le compagnonnage français
Publié le 18 Novembre 2018 @ 18:16:00 , contient 35 mots
Il ne reste plus que quelques jours pour souscrire aux trois volumes du livre de Louis Marguet sur Le compagnonnage français, une somme d'informations.
LA SOUSCRIPTION EST PROLONGÉE JUSQU’AU 15 DÉCEMBRE !
Télécharger le bon de souscription.
16 Novembre 2018
Alerte faux ! Un portrait de Premier Compagnon Étranger tailleur de pierre, Louis Leloup dit "Le Bien-Aimé de Lyon"
Publié le 16 Novembre 2018 @ 10:52:00 , contient 0 mots
10 Octobre 2018
Pour revoir la conférence sur les coupoles organisée par l'Académie des sciences et l'Académie des beaux-arts
Publié le 10 Octobre 2018 @ 08:38:00 , contient 14 mots
Conférence de Jean-Michel Mathonière sur les compagnons et le trait :
Conférence complète :
4 Octobre 2018
Réédition augmentée du livre L'Esprit du compas
Publié le 4 Octobre 2018 @ 18:49:00 , contient 38 mots
28 Septembre 2018
Conférence sur les coupoles dans le cadre des "5 à 7 de l'Académie des sciences", le 9 octobre 2018.
Publié le 28 Septembre 2018 @ 16:10:00 , contient 618 mots
J'ai l'honneur de vous informer de ma participation à la conférence sur les coupoles organisée par l'Académie des sciences dans le cadre de ses « 5 à 7 » (Cycle histoire et philosophie des sciences).
LES COUPOLES
Qui ne connaît la célèbre coupole de l'Institut de France ? On l'évoque souvent pour parler des séances solennelles des cinq académies qu'elle abrite. Mais on parle peu de son histoire ou de sa forme insolite. C'est précisément de ces questions qu'est née l'idée de ce 5 à 7. D'où sort la coupole ? De quelles mains, de quels savoirs, et de quelles machinations est-elle le fruit ? Et comment se compare-t-elle aux coupoles qui coiffent Sainte-Sophie de Constantinople, Saint-Pierre de Rome, le dôme de la basilique de Florence, et bien d'autres édifices ? Cette séance sera l'occasion de se pencher sur les personnages et les savoirs qui ont produit quelques-unes de ces merveilles architecturales.
Introduction
Pascale Cossart, Secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences
Laurent Petitgirard, Secrétaire perpétuel de l'Académie des beaux-arts
Aux arts et sciences réunis : les compagnons et le trait
Jean-Michel Mathonière, historien des compagnonnages
Les compagnons tailleurs de pierre et charpentiers ont joué un rôle clef dans la construction des coupoles (et des dômes). Curieux des sciences et des arts ainsi que les y incitait leur « Devoir », ils amélioraient, partageaient et transmettaient leurs savoirs durant le Tour de France, notamment à l'occasion de cours du soir où chacun étudiait le trait de charpente ou de coupe des pierres et traçait des épures. Les plus expérimentés s'élevaient ainsi du statut d'artisan à celui d'architecte, et certains, outre leurs réalisations, ont publié des ouvrages théoriques.
Les coupoles, objets de controverses ?
Pascal Dubourg Glatigny, historien de l'architecture, CNRS, Centre Alexandre Koyré / Piast, Académie des sciences de Pologne
La construction de coupoles, quelles qu'elles soient, pose les mêmes problèmes spécifiques de physique. Pourtant, toutes les coupoles ne partagent pas le même destin historique. Cet exposé s'appuiera sur les polémiques auxquelles a donné lieu la question de la stabilité de la coupole de Saint-Pierre de Rome (en particulier en 1680 puis en 1740). Les conflits dont les techniques architecturales ont été l'objet sont révélateurs à plus d'un titre. Ils témoignent de la diversité professionnelle, intellectuelle et idéologique des multiples acteurs qui tentent de faire leur cet objet si singulier.
Les espaces de l'architecte
Alain Charles Perrot, inspecteur général des monuments historiques, membre de l'Académie des beaux-arts
En 1662, Louis Le Vau et son collaborateur François d'Orbay présentent un premier projet pour le Collège des Cinq Nations et sa Chapelle mais ce n'est qu'en 1668 que le projet de la Chapelle est définitivement conçu par l'architecte alors que le Collège est pratiquement construit. La conférence présentera les projets successifs de la coupole et tentera d'expliquer la raison des atermoiements de l'architecte. On présentera enfin les dispositions de la coupole en 1805 puis les travaux qui ont conduit à l'état que nous connaissons aujourd'hui.
La coupe des pierres, une source de théorèmes mathématiques
Étienne Ghys, mathématicien, CNRS, ENS Lyon, membre de l'Académie des sciences
Vers la fin du dix-huitième siècle, Gaspard Monge invente un nouveau type de géométrie (la géométrie descriptive), et l'enseigne sous la Révolution dans la perspective de mieux former les ouvriers et d'améliorer l'industrie en France. C'est l'occasion pour lui de se pencher sur les coupoles et d'établir des théorèmes de géométrie « pure » au sujet de leur fabrication. Tout cela sera illustré par un magnifique projet de dôme ellipsoïdal qui ne fut malheureusement jamais réalisé.
Séance présidée par :
Etienne Ghys, membre de l'Académie des sciences
Pascale Cossart, Secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences
et Laurent Petitgirard, Secrétaire perpétuel de l'Académie des beaux-arts
Entrée libre sur inscription préalable - attention nombre de places limité
http://www.academie-sciences.fr/fr/Seances-publiques/5-a-7-coupoles.html
Service des séances : colloques@academie-sciences.fr
Le 9 octobre 2018, de 17 h à 19 h sous la Coupole de l'Institut de France, 23 quai de Conti – 75006 Paris
20 Septembre 2018
Une lithographie de 1853 représentant un chef-d'œuvre des compagnons passants charpentiers, Le Berryer>
Publié le 20 Septembre 2018 @ 09:56:00 , contient 244 mots
Voici la photographie d'une lithographie représentant "Le Berryer", un chef d'œuvre réalisé en 1846 par les compagnons passants charpentiers de Paris afin de remercier le célèbre avocat royaliste Berryer d'avoir défendu gratuitement les ouvriers charpentiers lors de la grande grève de 1845 (procès en août 1845). Sa plaidoirie est restée dans les annales tant elle est un modèle de clarté et d'humanité.
Cette lithographie de grandes dimensions (59,7 x 101,5 cm) a été réalisée en 1853 par Aubert, dit "Tonneins l'Ami des Arts", compagnon passant charpentier résidant 32 rue Tourtille (Belleville) à Paris, "ex employé au Génie chargé du tracé général du fort de Vincennes sous les ordres des officiers supérieurs du Génie".
Outre la partie supérieure du chef-d'œuvre (il est aujourd'hui posé sur une base à trois colonnes qui est en elle-même une pièce intéressante), le dessin figure (à une autre échelle que celle du chef-d'œuvre) 14 compagnons, répartis en deux groupes de part et d'autre du baldaquin. Chacun d'eux porte un numéro et il est probable que cette lithographie était à l'origine accompagnée d'un feuillet explicatif précisant l'identité des personnages. En son absence, on peut penser qu'il s'agit, d'une part, des compagnons charpentiers impliqués dans ce procès, et, d'autre part, des compagnons ayant réalisé ce chef-d'œuvre.
Cette lithographie semble extrêmement rare puisque je n'en connais en fait que l'exemplaire photographié ici. En subsiste-t-il d'autres dans les archives et musées compagnonniques ? Peut-être un lecteur partageur aura-t-il de ce fait la réponse quant à l'identité des compagnons figurés au pied du chef-d'œuvre ?
14 Août 2018
Avis de recherche autour d'un exemplaire manuscrit par François Giraudet, en mars 1694, des Règles des cinq ordres d'architecture de Vignole
Publié le 14 Août 2018 @ 18:45:00 , contient 131 mots
S'il y a parmi mes contacts des personnes qui sont compétentes en matière d'histoire et de généalogie de l'Île-de-Ré, pourraient-elles m'aider à identifier précisément le François Giraudet qui, le 12 mars 1694, présenta à François Ferry, ingénieur du roi et directeur des fortifications pour le Poitou, la Saintonge, l'Aunis, la Guyenne et le Béarn, ce beau manuscrit, hélas très incomplet, des Règles des cinq ordres d'architecture de M. Jacques Barozzi de Vignole ?
Je pense qu'il était originaire de l'île ou de la région, où le patronyme est connu, mais les quelques François Giraudet que j'ai pour l'instant repérés ne sont pas suffisamment documentés quant à leur profession pour être absolument certain de l'attribution à tel ou tel. Il est probable qu'il s'agisse à l'origine d'un maître maçon (tailleur de pierre).
Merci par avance !